L’indicateur est le ratio entre l’eau consommée et la production électrique totale du Groupe. Les consommations d’eau pour la production de chaleur et d’autres activités du Groupe sont prises en compte dans le calcul de l’indicateur. Leur quantité négligeable (< 0,1 %) n’est pas de l’ordre à changer la valeur de l’indicateur. Le périmètre couvre le Groupe.
Les formations pour lesquelles les justificatifs ne sont pas reçus à la date de clôture du reporting ne sont pas prises en compte.
Le nombre d’heures de formation intègre les heures passées en école par les contrats de professionnalisation. Pour 2019, les heures passées en école par les contrats de professionnalisation ne sont pas reportées par Framatome.
L’indicateur est calculé par le ratio entre le nombre de salariés ayant suivi une formation et l’effectif physique fin de période. Le périmètre couvre le Groupe.
Le CODIR est une instance de décision qui remplit l’un des critères suivant :
Les personnes membres de plusieurs Comités de Direction au sein d’une même filiale, ou membre à la fois d’un Comité de Direction filiale et d’un Comité de Direction EDF Groupe sont comptabilisées une seule fois. Cet indicateur est calculé par le ratio du nombre de femmes dans les CODIRs sur le nombre de personnes dans les CODIRs. Le périmètre couvre le Groupe.
Afin de disposer de données comparables entre les entités du Groupe et de mesurer l’accidentologie directement liée à la réalisation des activités, EDF a mis en place en 2017 un nouvel indicateur « LTIR » correspondant au calcul du taux de fréquence selon les standards anglo-saxons. Cet indicateur est communiqué à compte de l’exercice 2019.
Le taux de fréquence global LTIR du Groupe représente le nombre d’accidents de travail en service liés à l’activité professionnelle (salariés et prestataires, quel que soit le niveau de sous-traitance y compris co-traitance et intérimaires) avec arrêt supérieur ou égal à un jour survenus au cours d’une période de 12 mois rapporté à un million d’heures travaillées. Les heures travaillées prises en compte pour le calcul du taux de fréquence sont des heures réelles correspondant aux heures d’« exposition aux risques » selon la CNAM. Le périmètre couvre le Groupe.
L’indicateur comptabilise le nombre d’accidents mortels liés aux risques métiers intervenus dans l’année. Le périmètre couvre le Groupe.
Les indicateurs relatifs à l’eau de refroidissement comprennent l’eau prélevée et restituée en rivière, en mer et en nappes phréatiques. Pour les CNPE situés en bord de mer et pour les centrales thermiques, les quantités d’eau de refroidissement prélevées/restituées sont calculées sur la base des temps de fonctionnement et des débits nominaux des pompes.
Pour la société MECO, le circuit de refroidissement de la CCGT est ouvert. La restitution d’eau est alors complète et aucune consommation significative n’est à reporter. Sur cette base aucune valeur n’est reportée par MECO à partir de 2018.
Ces indicateurs ne sont pas collectés par EDF RE, filiale d’EDF Renouvelables aux États-Unis, et certains sites d’Edison (uniquement les centres d’exploitation gérés par Fenice), leurs valeurs étant négligeables à l’échelle du Groupe.
Les émissions dans l’air des centrales thermiques du groupe EDF sont mesurées ou calculées sur la base des analyses des combustibles ou sur la base de facteurs d’émissions standards.
Les émissions de SF6 du Groupe sont calculées, en priorité, sur la base d’un bilan massique ou à défaut, dans une moindre mesure, à partir d’une méthode d’estimation validée par la Direction de l’entité concernée (par exemple, application d’un taux de fuite).
Les centrales CCG, hors EDF, ne reportent pas les émissions de poussière, sans impact significatif à l’échelle du Groupe. La société MECO ne collecte pas les émissions de N2O et SF6, également sans impact significatif à l’échelle du Groupe.
Émissions indirectes du scope 3 : EDF établit annuellement un Bilan GES (scopes 1,2 et 3) au périmètre du Groupe calculé suivant les principes du GHG Protocol Corporate Standard. Le bilan 2018 nous a permis d’identifier les postes significatifs d’émission retenus pour l’exercice 2019. En effet, en 2018, trois postes représentent plus de 70 % des émissions de GES : les émissions directes de CO2, les émissions indirectes associées à la combustion du gaz vendu à nos clients finals et les émissions indirectes associées à production de l’électricité achetée pour vendre à nos clients finals.
Les données relatives aux déchets conventionnels ont été obtenues sur la base des informations disponibles à la date de clôture concernant les quantités évacuées et les filières d’élimination. Il est à noter que les données reportées ne sont pas exhaustives pour ce qui concerne les déchets industriels conventionnels d’EDF Renouvelables, ces données ne pouvant être à ce stade reportées dans les délais de reporting du Groupe. Dalkia reporte sur les installations les plus significatives sur l’année N-1 pour France et pour les filiales étagères sur janvier N à décembre N, avec une estimation sur ce dernier mois.
Les déchets de construction et de déconstruction sont pris en compte dans le présent reporting lorsque leur gestion relève de la responsabilité du groupe EDF. Les déchets dont la gestion relève de la responsabilité des prestataires ne sont en revanche pas pris en compte. Concernant le gestionnaire de réseau de distribution Enedis, le reporting des déchets est réalisé sur une année glissante, du 1er novembre N - 1 au 31 octobre N.